par Blaireau
Changer de stratégie énergétique, engager des transferts au profit des énergies conventionnellement dites « renouvelables » – en réalité leurs effets sur le vivant et la planè en général ne sont-ils pas souvent désastreux ?- serait une réponse appropriée à la substitution aux énergies fossiles et au nucléaire. Faut-il pourtant attendre de l’éolien et de l’hydroélectricité qu’elles participent utilement à conforter le bouquet énergétique ou qu’elles contribuent à dévaster les paysages et à anéantir les rivières ?
En fait, la solution ne procèderait-elle pas avant tout et surtout d’un effort sérieux de sobriété individuelle et collective, dans l’utilisation de l’énergie ? Optimiser et réduire ne seraient-il pas les seules réponses appropriées pour espérer sortir de ce paradigme absurde qui fonde largement le bien-être sur la consommation ?